Le Contrat social n’est pas facile à lire et facilement vu comme étant obscur.
Spécialement au Livre II, chapitre 3, lorsque la volonté générale et la volonté de tous sont deux sommes dans la même formule.
Pourquoi ? Parce que ce traité rousseauiste est écrit dans la langue du calcul intégral et de la géométrie, sans aucune figure géométrique, avec un art d’écrire… ou de cacher très spécial.
Alors, le meilleur guide pour le lecteur n’est rien d’autre que ces simples mathématiques cachées. Leurs éléments composent cette libre application.